En application de l'article L.2121-27-1 du Code Général des Collectivités Territoriales et conformément à la loi du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité, la ville d’Aubenas favorise la libre expression des différents groupes politiques de la commune (élus municipaux de la majorité et de l'opposition) sur le bulletin municipal “Vivre à Aubenas” et le site internet de la ville www.ville-aubenas.fr.


Retrouvez ci-dessous les tribunes publiées hors bulletin municipal “Vivre à Aubenas”. Les textes sont publiés tels qu’ils sont transmis à la rédaction.

L’année 2024, verra progressivement l’ouverture du 18A - Maison des Métiers d’Art et de la Création, rue Auguste Bouchet : ateliers de métiers d’art, salles d’exposition, Micro folies ainsi qu’une boutique, destinée à la vente des créations et réalisations des artisans d’art. Dans cet espace, vous pourrez rencontrer l’équipe du service
municipal : développement du centre-ville, l’association Tendances Aubenas ainsi que la chambre des métiers.
Le Centre d’Art contemporain et Patrimonial dans le château d’Aubenas, sera ouvert au public dès le mois de juillet. La rénovation du château permet dorénavant l’accessibilité pour tous les publics. Chacun pourra y découvrir les oeuvres prochainement exposées. Ces deux projets arrivent à leur terme et je suis heureux de vous inviter à vivre Aubenas commercialement, artistiquement et durablement.
Sur les dispositifs que la Ville accompagne aux côtés de l’association des professionnels du centre-ville, Tendances Aubenas :
Le chèque KDO’BENAS continue de poursuivre son envol sur notre secteur grâce aux entreprises souhaitant soutenir l’économie locale. Elles contribuent ainsi à ce cercle vertueux : gagnant/gagnant. À ce titre, je les remercie et souligne leur partenariat important dans cette dynamique, la Ville soutient cette synergie avec ces "outils de levier économique forts".
C’est ainsi que le CCAS offre chaque année à ses aînés des chèques KDO’BENAS. En 2023 : 39 775 €.
La Ville, pour encourager ses agents, leur a offert une enveloppe de chèques KDO’BENAS : 24 050 € au global, soit 63 825 € réinjectés dans l’économie locale grâce aux actions de la ville d’Aubenas.
En 2023, Tendances Aubenas a commercialisé près de 160 000 €
de chèques KDO’BENAS, achetés par les comités, entreprises, associations, les collectivités de la CCBA et la ville d’Aubenas,
Autant d’argent réinvesti localement auprès des commerces affiliés (environ 80 commerces en centre-ville, une quinzaine en périphérie, toutes activités confondues !)
« Cigale & Fourmi », le programme de fidélité collective, imaginé et mis en service par Tendance Aubenas, avec un soutien indispensable de la Ville depuis la création de cette aventure qui tend à se généraliser.
Aujourd’hui, 33 commerces, 9 666 détenteurs d’une carte active permettent le cagnottage dans un commerce affilié. La carte est utilisable en mode de paiement sur les parkings automatisés et
équipés pour la recevoir !
Ces outils sont soutenus et encouragés par la Municipalité qui ne faiblira pas et continuera à répondre présent aux côtés des acteurs locaux.
Très bonnes années albenassiennes à venir !

Pascal GAILLARD,
3ème adjoint au développement économique de la Ville, promotion et animations - commerces.


1er janvier 2026 : une date qui devrait marquer le transfert des compétences "Eau et Assainissement" à la Communauté de Communes.

Parmi les mesures qui figuraient dans la loi NOTRe (07/08/2015), un article imposait un transfert obligatoire des compétences Eau et Assainissement des communes vers les communautés de communes à compter du 01/01/2020, au motif qu’il était nécessaire de réduire le morcellement des compétences dans ce domaine.

Face aux craintes de nombreux élus, très critiques envers les dispositions de cette loi en matière de maitrise des coûts de l’eau et assainissement du fait d’une gestion moins directe, associée à une connaissance moindre des réseaux et de leur environnement, et sous la pression du Sénat qui militait pour que ces transferts n’aient pas un caractère obligatoire, une nouvelle loi a été votée (03/08/2018)
qui reportait cette date de transfert au 01/01/2026. Pour les communes faisant partie d’une communauté d’agglomérations, ce transfert restait acté au 01/01/2020. Pour les Syndicats couvrant plusieurs communautés de communes, comme le SEBA, les principes pré existants de gestion ‘’Eau et Assainissement’’ seront maintenus après le 01/01/2026.

De nombreuses voix se sont élevées contre cette obligation maintenue de transfert de compétences et ont fait l’objet de multiples interventions lors de l’examen des lois ‘’Engagement - Proximité en 2019’’ ou plus récemment (2022), lors du vote de la loi ‘’3DS’’ qui consacre un principe de différenciation qui devrait pourtant trouver tout son sens sur l’exercice des compétences eau/assainissement entre métropoles et communes rurales.

Ces élus, au Sénat, à l’Assemblée, dans les communes et intercommunalités concernées, se sont élevés et continuent à le faire pour assouplir ce texte et faire en sorte que ces transferts, aujourd’hui obligatoires, deviennent facultatifs.

En effet, pour les communes rurales, les modalités de gestion d’un service public varient d’une commune à l’autre ; maintenir cette gestion directe permet une réactivité et une capacité d’intervention plus souple. À noter aussi que les différents réseaux ne correspondent ni au périmètre administratif de notre communauté de communes, ni à la réalité hydrique du territoire.

L’exercice des compétences eau/assainissement par l’échelon intercommunal se traduira inévitablement par des dépenses supplémentaires de fonctionnement et une obligation d’harmoniser les tarifs en vigueur dans les communes concernées, d’où une augmentation certaine des prix de l’eau et de l’assainissement pour des communes comme Aubenas, pratiquant une tarification particulièrement basse, par rapport aux autres acteurs du territoire agissant dans ce même domaine.
Restons vigilants.

André LOYET
1er adjoint aux aménagements, domaines techniques et économie des entreprises
04 75 87 81 03.


Points de rentrée 2023

Côté restauration scolaire : malgré un contexte budgétaire contraint, nous ne renonçons pas au choix de proposer des repas de qualité. Ce sont 57% de produits bio, dont 70% en bio local. La transition écologique se joue également dans l’assiette des enfants ! La méthode de calcul choisie permet 4 tarifs, le plus bas s’élevant à 0.75€. Enfin grâce au Portail Familles, réserver sur Internet à l’avance est plus facile et meilleur pour la planète : plus de repas jetés, moins de gaspillage !


Périscolaire : Ambition Educative - Saison 6
Dès le mois d’octobre, les écoles de la ville et les centres sociaux accueilleront tous les élèves pour des activités périscolaires gratuites pendant la pause méridienne et le soir après la classe. L’accent est mis cette année sur « les devoirs faits » mais également des activités sportives et de découverte seront proposées. Les accueils du matin et du soir sont entièrement gratuits.


Une école durable :
Savoir rouler à vélo : entre 2022 et 2023, 12.000 € ont permis l’achat de vélos, draisiennes, matériel pédagogique. Les ETAPS ont été formés à cette activité. L’objectif de ce plan national est de former l’ensemble d’une classe d’âges au Savoir rouler à vélo. Pour l’année 2022/2023, ce sont les élèves de cycle 2 des écoles Beausoleil et Les Oliviers qui ont participé à ce programme d’apprentissage.
L’école Le Pont s’est déjà positionnée pour 2023/2024.
Avec la fermeture du groupe scolaire Baza, le matériel pédagogique, sportif, numérique et le mobilier ont été redéployés dans les écoles de la ville. La réinscription des élèves à Beausoleil, Le Pont et St Pierre s’est faite en douceur. La fin de l’année scolaire avait permis la visite des nouvelles écoles de rattachement. Le périmètre scolaire sera modifié à l’issue de l’année 2023/2024, décision prise par la commission des affaires scolaires.


Des projets soutenus :
Parce que les projets d’écoles sont différents d’une équipe éducative à une autre, nous avons soutenu pour l’année écoulée les classes Patrimoine, de découverte, les cycles équitation, danse, musique, jardin, les rencontres avec les auteurs, école et cinéma, etc…. Nous continuons ce soutien respectueux de la communauté éducative.


Du personnel et du professionnel :
Les 40 agents du service bénéficient chaque année de formations professionnalisantes dispensées par le CNFPT. Ces formations innovantes permettent un accueil de qualité particulièrement apprécié par les enfants, les parents et les enseignants.
Vos enfants la priorité de nos actions au quotidien.

Eliette ROCHE
Adjointe à la vie éducative
04 75 35 79 80


2023 voit l’aboutissement de deux projets phares du mandat en cours.

La ville utilise son passé et les joyaux de son patrimoine pour se tourner vers l’avenir et renforcer l’attractivité économique et touristique du centre ville et tout le territoire.

Les travaux intérieurs du château vont permettre d’accueillir en 2024 un centre d’art contemporain et du patrimoine.

L’hôtel Goudart Ruelle va revivre sous la forme d’un pôle d’artisanat d’art où des maitres artisans sélectionnés vont investir 11 ateliers et une boutique partagée.

C’est cependant dans un contexte budgétaire  difficile que la ville va accueillir ses deux nouveaux projets, programmés pensés et pesés depuis longtemps.

En effet, Aubenas n’est pas épargnée par les conséquences économiques de la guerre en Ukraine.

L’inflation galopante, la hausse du prix de l’énergie et l’augmentation du point d’indice des fonctionnaires pèsent lourd sur les finances de la ville pour près de 800 000 euros cette année 2023.

La suppression de la taxe d’habitation remplacée par une dotation figée de l’Etat , prive les communes de la dynamique de cet impôt et a donc des répercussions sur les finances des collectivités.

C’est dans ce contexte délicat que  la majorité municipale a dû se résoudre à augmenter les taux d’imposition après 14 ans de stabilité.

Mais Aubenas n’a d’autre choix que d’avancer et prévoir l’avenir.

Notre ville a un rôle particulier au seing de la communauté de communes du bassin d’Aubenas.

Elle assume chaque année  les charges liées à sa position de ville centre qui sont évaluées annuellement à 1 million d’euros en fonctionnement et 1,3 millions en investissement.  

Les voiries, les équipements culturels, sportifs, sociaux ne sont pas exclusivement fréquentés par les albenassiens. Pour exemple, les associations culturelles et sportives comptent moins de 30 % d’albenassiens.  

Par ses actions fortes, la ville assure une part importante du dynamisme économique, touristique et culturel du terrritoire.   Le centre d’art et  le pôle d’artisanat vont avoir des répercutions positives bien au-delà d’Aubenas .

Notre ville est liée à la communauté de communes du bassin d’Aubenas par un pacte financier comme toutes les communes qui en font partie.

son rôle de catalyseur doit être reconnu, conforté pour qu’elle ait les moyens de l’assumer .

Elle doit travailler main dans la main avec les élus communautaires  pour que toutes les communes du bassin d’Aubenas, par un équilibre bien dosé, prospèrent.

Martine ALLAMEL
Adjointe aux finances
04 75 87 81 00


LE MARCHÉ ALBENASSIEN REPRÉSENTE L’ARDÈCHE AU CONCOURS NATIONAL « VOTRE PLUS BEAU MARCHÉ » !

Notre beau département sera représenté par le marché d’Aubenas au concours national « Votre plus beau marché » organisé par TF1, en lice pour devenir le plus beau de France ! 

Devenu un incontournable dans le sud Ardèche, notre beau marché du samedi matin est devenu l’essence même d’Aubenas. Présent depuis des décennies sur la place médiévale du château de Montlaur, notre marché ne cesse de faire parler de lui et notamment grâce à sa sélection régionale au concours télévisé « Votre plus beau marché » initié par Jean-Pierre Pernaut. Cette 6ème édition va nous permettre de donner du poids au commerce de proximité, aux produits locaux et aux cultures régionales. Une aubaine pour notre marché historique au cœur du centre-ville !

Quelle joie et quel honneur d’avoir été sélectionné pour représenter la région Rhône-Alpes avec notre marché authentique aux saveurs du sud (Ardèche). Historique, coloré et somptueux, le marché albenassien met à l’honneur chaque samedi la production et le savoir-faire ardéchois, tout en étant à la pointe des tendances.

Le marché de tous les albenassiens.
Avec 150 étals de commerçants, la place du marché est un lieu de convivialité ouvert à tous qui contribue pleinement au dynamisme économique du centre-ville et qui s’anime chaque fin de semaine sous le soleil ou en jour de pluie grâce à la halle. 
Le marché c’est surtout l’envie de se retrouver, de passer un bon moment avec les producteurs, les commerçants, les artisans… un moment sacré pour tous.

Le marché d’Aubenas sera-t-il sacré plus beau marché de France ? C’est notre objectif et pour cela nous avons besoin de tous les albenassiens.

Les prochains rendez-vous du concours :
•    21 avril – 25 mai : révélation des 24 marchés finalistes dans le JT de 13 heures de TF1 et ouverture des votes sur le site votreplusbeaumarché.fr. Chaque jour, un mini-reportage sur un des 24 marchés en compétition sera diffusé en fin de journal.

•    26 mai – 16 juin : révélation des 10 marchés finalistes.

•    16 juin : clôture des votes nationaux.

•    Semaine du 26 juin : révélation du plus beau Marché de France au journal de 13h sur TF1 à l’occasion d’une page spéciale en direct de la ville lauréate.

À vous de jouer ! Nous comptons sur votre participation pour faire de votre marché, le plus beau de France !

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Jean-Yves MEYER
Maire d'Aubenas
04 75 87 81 00

Une nouvelle fois, lors du conseil municipal du 22 juin dernier, notre groupe Ensemble pour Aubenas a fait connaître ses positions.
Notamment en ce qui concerne les conditions d’accueil actuelles à l’hôpital d’Aubenas.
Notre groupe Ensemble pour Aubenas avons déposé une motion visant à dénoncer cet état de fait.
Cette motion a été communiquée au Ministère de la Santé afin d’interpeler le gouvernement sur le sujet.


Cette motion a été votée à l’unanimité (moins 1 voix) par le conseil municipal.
La voici : « POUR UN VRAI SERVICE PUBLIC DE SANTE AUX URGENCES DU CHARME Depuis avril, les urgences de l'hôpital d'Aubenas sont fermées la nuit par manque de médecins. Cette situation met les habitants du bassin d'Aubenas et du sud Ardèche en danger, étant orientés à Privas, Valence ou Montélimar. Nous, élus d'Aubenas, ne pouvons accepter le dysfonctionnement de cet incontournable service public. Il n'est pas possible en termes de santé publique et de sécurité que les urgences ne fonctionnent pas en continu toute l'année et que la permanence des soins ne soit pas effective. Cette situation a des conséquences directes pour la santé des usagers, mais aussi des répercussions pour l'attractivité du territoire pour de nouveaux professionnels, le recrutement, la fermeture de lits, sans parler de la situation financière critique du budget de l'hôpital. Nous, élus d'Aubenas, nous attendons que l'Etat, organisateur du système de santé, soit le garant d'un accès égal à des soins de qualité pour tous les citoyens. C'est à l'Etat d'assumer la situation et de trouver des solutions opérationnelles face aux dysfonctionnements des urgences. A la veille de la période estivale et de l'arrivée des touristes, le conseil municipal d'Aubenas :

-demande au ministère de la santé que les urgences soient ouvertes 365 jours par an et 24 h/ 24

-demande au ministère de la santé d'attribuer sans délais au CHARME les moyens humains et financiers adaptés pour assurer le fonctionnement du service des urgences à Aubenas

-apporte son soutien aux soignants et au personnel du CHARME qui vit une période difficile pour faire fonctionner avec des moyens dégradés les services de l'hôpital et des urgences ».

 


Retrouvez nous https://www.facebook.com/EnsemblePourAubenas
Contactez nous 06 77 91 95 68 / ensemblepouraubenas@gmail.com

Qui sommes nous :
Patricia Roux, enseignante et conseillère pédagogique, puis commerçante à Aubenas, aujourd'hui retraitée, PS. Deuxième mandat, élue au CCAS et dans la commission "Finances".
Alexandre Guibert, artiste peintre et surveillante d’internat
Marielle Thinon, enseignante à l’école de St Pierre
Benoit Perrusset, cadre territorial, PS
Guillaume Vermorel, enseignant au lycée Astier, EELV
Notre rôle d'élus d'opposition est de veiller au bon fonctionnement de notre instance mais aussi de proposer des idées et des projets plus écologiques, plus sociaux et plus participatifs (conseil municipal des enfants, conseils de quartier, …). Nous faisons aussi remonter la voix des habitants. Il s’agit certes de mener une opposition à la majorité de droite, mais de manière constructive!


Les actualités de Mars 2023, au sein du conseil municipal, nos positions et
interventions:

Lutte contre la canicule : Rendez vous manqué!
« Nous arrivons à convaincre qu’il est possible de remplacer la vieille chaudière fioul du Centre Le Bournot par une chaudière bois plutôt que gaz. Malheureusement concernant notre question écrite sur l’adaptation de notre ville face au changement climatique, c’est resté lettre morte ! C’est inquiétant que la majorité n’anticipe pas la catastrophe écologique annoncée pourtant les canicules ne sont plus anecdotiques. Nous avons interpellé le Maire sur la question des moyens à mettre en oeuvre pour qu’Aubenas soit résiliente face au changement climatique, notamment pour créer de l’ombre dans des rues ou sur des parkings comme par exemple des ombrières photovoltaïques ou de la végétation. La réponse de M. Meyer est surprenante : ils n’ont rien prévu ! Même pas un de groupe de travail ou un séminaire pour préparer l’adaptation au changement climatique. »


Le Conseil Municipal des Enfants : quid de la pédagogie?
Patricia Roux démissionne du CME pour cause "d'incompatibilité pédagogique. «Nous sommes déçus du comportement des élus de droite qui refusent notre collaboration. Ils semblent insensibles à toute l'importance d'une préparation pédagogique pourtant incontournable dans l'animation d'un CME. Que les enfants se fassent plaisir, c'est indispensable et porter l’écharpe tricolore les transporte! Mais ce n’est pas suffisant. On espère plus de sens à ce qui leur est proposé. Alexandra Guibert siégera dorénavant au CM des Enfants».

DES ARBRES… PAS DU BÉTON !

Lors du conseil municipal du 22/06/2023, notre groupe a voté contre la modification simplifiée n°4 du Plan Local d’Urbanisme (PLU), dont le but était de déroger aux règles d’urbanisme que la commune a elle-même édictée, notamment pour la parcelle cadastrée "B 3606".

Si le projet de remplacement de l’ancienne Clinique du Vivarais par une résidence pour personnes âgées est intéressant pour la commune, la méthode employée par l’équipe municipale majoritaire, comme pour ses précédents projets, est critiquable.

Le bon sens est capable de critique, c'est là son utilité comme contrepoids face aux excès de la subjectivité et de l’ignorance.

L’Adjoint à l’Urbanisme a proposé (sans rire) de raser la totalité de la parcelle (bâtiment existant et végétation) puis, une fois la résidence pour personnes âgées construite, planter quelques arbustes dans les rares espaces laissés libres. Ce "brave homme" semble ignorer que, même un tilleul qui a une croissance rapide, qui résiste à la sécheresse et qui peut vivre jusqu’à 1.000 ans, mettra plus de 20 ans pour atteindre une hauteur de seulement 10 mètres.

Sur cette parcelle, en bordure des rues "Georges Couderc" et "Jean-Baptiste Marcet", il existe un bosquet de magnifiques arbres centenaires dont l’ombrage généreux devrait profiter aux futurs résidents du lieu. Nous en avons déjà fait établir un inventaire précis par un paysagiste professionnel. Nous avertissons solennellement la majorité municipale que, si seulement un de ces arbres était abattu, nous saisiront le juge des référés du tribunal administratif de Lyon pour suspendre le permis de construire du projet.

On se souviendra que cette majorité municipale a fait abattre la moitié des platanes présents sur la Place de l’Hôtel de Ville, fait construire le parking Olivier de Serres sans l‘équiper d’ombrières, aménager l’Agora du Champ de Mars avec deux fois plus de minéral que de végétal.

La majorité municipale, dont le manque d’imagination est patent, devrait s’inspirer sur la splendide réalisation de Privas dont les habitants ont fleuri les rues de leur quartier de Bésignoles.

Le refus de reconnaître la réalité du dérèglement climatique par l’équipe municipale en place alors que depuis 1968 le Club de Rome et depuis 1992 le GIEC, nous alertent sur sa dimension tragique, est tout simplement pathétique.

 

                    Alexandra CAUQUIL
                    André CONSTANZO


EMBROUILLES ET DÉBROUILLE
AU PARTI "LES RÉPUBLICAINS"


Après 30 années d’une bataille administrative et judiciaire se pose désormais la question du financement des travaux pour la mise en conformité de la zone d’activités économiques de Chamboulas située entre Ucel et Vals-les-Bains.

On se souviendra qu’après la crue de septembre 1992, Jean-Marie ALAIZE, alors député-maire de Vals-les-Bains, avait logiquement annulé ce projet d’aménagement sur la rive gauche de l’Ardèche.
Sauf qu’en 1998, son successeur, Jean-Claude FLORY, a relancé ce même projet avec Bernard PERRIER alors maire d’Ucel.
Engagés par des associations de protection de l’environnement, les recours judiciaires en annulation du projet ont été rejetés par le Tribunal Administratif de Lyon.
À partir de 2005, les premières entreprises s’installent donc sur la zone de Chamboulas.
D’autres péripéties administratives et judiciaires suivront jusqu’à la fin 2021.

D’autre part, élu depuis octobre 1993, Jean-Claude FLORY a mis fin précipitamment à son mandat de maire de Vals-les-Bains en février 2022 (concomitance ?).

À présent, c’est la Communauté de Communes du Bassin d’Aubenas (CCBA) qui doit réaliser des travaux d’un coût estimé entre 2,6 et 3 M€.
Max Tourvieille, président de la CCBA et lui aussi élu du parti "Les Républicains", a tenté maladroitement de passer la "patate chaude" à l’Établissement Public Territorial du Bassin (EPTB) versant de l’Ardèche dont la mission est la gestion de la rivière… pas de corriger les aménagements effectués sur les berges inondables de l’Ardèche au mépris de la sécurité des personnes et des biens.

Le budget primitif 2023 élaboré par la CCBA ne fait aucune mention de travaux sur la zone de Chamboulas. Déjà considérablement endettée, la CCBA envisage d’emprunter 3,9 M€ afin équilibrer le budget de cette année.

Finalement qui va payer ces embrouilles ?
…Certainement pas le parti "Les Républicains" spécialiste de la débrouille.


                    Alexandra CAUQUIL
                    André CONSTANZO
 


AVEC LA SÉCHERESSE RÉCURRENTE
…LES ENJEUX DU PARTAGE DE L’EAU

Le manque de précipitations et les températures élevées ont fait de 2022 une des années les plus extrêmes en termes d’hydrologie. Cette tendance longue, liée au dérèglement climatique, a atteint désormais notre territoire jusque-là épargné.

Une année record qui semble avoir mis en lumière les tensions qui existent désormais sur la question du partage de l’eau dans un contexte de diminution inéluctable de cette ressource et, pour notre territoire, de multiplication des usages : agriculture, élevage, tourisme, piscines des habitations individuelles, etc…

Plus que les usages, ce sont aussi les mentalités des consommateurs d’eau qu’il va falloir changer. Une prise de conscience d’autant plus compliquée qu’elle se heurte à des situations très diverses.
On se souviendra que le 27 juillet dernier, alors que les communes de Lussas, Lavilledieu et Vogüé ont été les proies d’un violent incendie, Roger Kappel, propriétaire du terrain de motocross de Lavilledieu, n’a pas hésité à fracturer la clôture et à prélever 400 m3 dans un bassin de rétention d’eaux pluviales constitué par la CCBA pour sécuriser la Zone d’Activité Économique.
Cette action avait pour finalité un arrosage dispendieux du terrain de motocross sur lequel a été organisé un festival le 6 août.

À titre d’exemple, à l’occasion du conseil municipal du 16 mars, notre groupe d’opposition a proposé la réutilisation de "l’eau grise" produite par la nouvelle station d'épuration du Bourdary (inaugurée en novembre 2021 -coût 12 M€-) qui assure le traitement des effluents des particuliers et des professionnels de 5 communes du bassin d’Aubenas.
…Une "eau grise" qui est rejetée dans les cours d’eau plutôt que d’être réutilisée.
Faute d’avoir su prendre en compte le changement climatique, le syndicat du Bourdary saura-t-il adapter la station d’épuration aux nouveaux usages de l’eau ?

Nous proposons de mieux connaître l’impact du réchauffement climatique sur la ressource en eau de notre territoire et l’évolution de ses usages (ce devrait être le projet majeur pour anticiper les sécheresses à venir).
L’enjeu qui entoure aujourd’hui la question de la gestion de l’eau, est de définir les efforts collectifs, non pas dans la recherche d’outils qui permettraient de continuer à répondre aux besoins actuels, mais dans la recherche de solutions orientées vers la diminution de ces besoins afin de s’adapter aux changements à venir. 

Nos élus seront-ils à la hauteur de ces enjeux ?

                    Alexandra CAUQUIL
                    André CONSTANZO
 

Une politique inefficace ! 
Depuis plusieurs années les logements à Aubenas se dégradent considérablement et à vitesse grand V. 
Les propriétaires semblent , pour la plupart refuser de prendre l’initiative de rénover leurs appartements, pour des raisons financières essentiellement, mais aussi en raison du manque de stationnement à proximité des logements. Il y a 20 ans, les appartements étaient loués aux cades d’Aubenas . Actuellement, ce sont en majorité des logements sociaux, sauf dans les résidences ou des parkings en sous sol, sont proposés. 
Aux vues des statistiques, Aubenas est parmi les 20 plus grandes villes Drôme Ardéchoise, citée pour avoir le pourcentage le plus élevé des 2 départements avec un taux de 18,7% des logements de notre commune classés F ou G énergie. Ce sont les classifications les plus mauvaises des départements attribuées à Aubenas. Donc, dans quelques années, ils seront inlouables aux vues des nouvelles normes gouvernemental énergétique. 15% des logements sont vacants et non Loués. Cela nous classe en 4 ème position des plus mauvais acteurs du 26/07. 
Depuis plusieurs années,  la politique que la commune mène ne fonctionne pas ! 
Pensez vous changer de cap et comment ! Avez vous pris conscience de ce problème propre à notre commune ? 
La désertification n’amène rien de bon dans une commune. Il est indispensable de réagir rapidement, si cela n’est pas trop tard ! Des aides et soutiens ainsi qu’une réelle politique d’accompagnement doivent être proposés aux propriétaires. Des niches de petits parkings (1, 2,3 places suffisent ) en souterrain, en toiture, doivent être créés pour être proposés aux futurs locataires du centre ville, pour re dynamiser la location des appartements. 
Avez vous réfléchi et pris conscience de cette problématique, messieurs les acteurs majoritaires du conseil municipal ? 

Roger Kappel 
Groupe Aubenas Action 
 


Aubenas, au plus haut, c’était le slogan d’un candidat élu de votre majorité, il y a quelques années. Maintenant le slogan de votre liste serait : «les impôts au plus haut ». Monsieur le maire et son équipe municipale conduisent la ville à la ruine de par leurs investissements extravagant.
Les quartiers, le centre-ville, se meurent , se paupérisent. Les routes restent dans un état catastrophique. Pas de jeux pour les enfants dans certains quartiers. L’avenue de Bellande est chaotique et difficilement praticable par les piétons nombreux. Pas de piste cyclable malgré un plan vélo fantôme.
Suppression des subventions aux associations sportives, historiquement reconnues et sérieuses, représentant, un grand nombre d’adhérents, créer un climat délétère. Nous pensons au foot, au handball. Est-ce la chasse aux sorcières ? La situation des finances et de l’endettement devient inquiétante, conséquences ; augmentation des impôts fonciers de 5,6 %, en plus du taux de base de 7% soit 12,6% ; du prix de l’eau de 16 %. Cela pèsera
fortement dans le pouvoir d’achat des Albenassiens qui payent déjà beaucoup d’impôts.
Alors que l’engagement était de diminuer la dette et ne pas augmenter les impôts. Il n’en n’est rien.
La ville propose de voter pour que le marché d’Aubenas soit le plus beau de France, alors que tout le monde, sait qu’il est en perte de vitesse; des tarifs trop chers, les horaires pas adaptés pour les forains. Quelle est la vision pour la ville d’Aubenas ?
Une école ferme, les urgences de nuit ferment alors que notre maire est le président du conseil d’administration.
Cette situation est intolérable. Il faut un audite au plus vite pour éviter la catastrophe. La CCBA (communauté de communes) diminue les rétrocessions financières à Aubenas. Cela est inacceptable. C’est une bataille a mener et Aubenas doit se faire entendre dans cette assemblée. Ce n’est pas le cas.
Ou en est le projet du stade sur un terrain agricole non constructible? Depuis deux ans, il n’y a eu aucun changement de PLU pour cette zone, rien n’a été voté ni même évoqué. Sans changement de PLU, rien ne peut démarrer. Les pistes sont brouillées ! Mais beaucoup attendent de cet investissement intercommunal.
A ce rythme, la ville va droit dans le mur, cela est inquiètent.
Roger Kappel (Aubenas Action Citoyennes)

EUROPE ET COMMUNES 

Notre monde est plongé dans des conflits internationaux de grande ampleur, lourds de souffrances pour les peuples. Ils impactent aussi directement nos territoires, nos concitoyens. L’élection des députés européens le 9 Juin est donc capitale.

Le Président de la République, son gouvernement, veulent engager la France dans « une économie de guerre » avec une augmentation de 118 milliards dans la loi de « programmation militaire 2024-2030 ».

En même temps... le Ministre des finances, Bruno Le Maire, annonce : « Tout le monde devra contribuer aux économies ». Il force les communes à participer à l’escalade au détriment des besoins de nos concitoyens, et annonce une première coupe budgétaire de 10 milliards, en particulier sur le logement, puis 20 milliards l’an prochain…

En général, ce ne sont pas les dirigeants ou personnalités qui veulent les guerres qui en paient les conséquences...  Non ! Les collectivités locales n’ont pas à les financer. 

Pourquoi voter aux élections européennes ?

Les élections européennes ne sont pas le relais d’élections nationales, ni une répétition générale des présidentielles de 2026. Les idées reçues affirment que tout est plié d’avance, que la politique européenne échappe aux citoyens… C’est vrai s’ils élisent des députés inactifs, ou complaisants avec les grands financiers européens.

On peut faire autrement : ce sont des élections à un tour, les seules à la proportionnelle où chaque voix compte, où le seul vote utile c’est de voter pour ses idées.

Les députés européens font les lois, adoptent le budget. Ils votent les accords commerciaux, surveillent les autres institutions européennes. Les directives européennes n’existent que parce qu’une majorité de députés les ont approuvées.
 
Les solutions prônées par l’alliance des groupes « libéraux », de droite ou sociaux-démocrates, de plus en plus avec l’extrême droite, servent uniquement les intérêts des grands capitalistes, des plus riches, contre l’intérêt du plus grand nombre.

Élu municipal je souhaite :

- une Europe des communes, pour des ruralités vivantes et des villes relais de la justice sociale.
- une Europe de services publics, avec des biens communs comme l’eau, l’énergie, les transports, la santé, l’éducation, la justice...
- une Europe qui met l’argent au service des projets et des territoires, pas des banques.
- une Europe pour la Paix, la sécurité collective et les coopérations entre pays européens.

Je retrouve ces propositions, et la détermination nécessaire, dans la liste « Gauche Unie » conduite par Léon DEFFONTAINES.  
 


En 2024, pas de place à la résignation !

« Il nous appartient de veiller tous ensemble à ce que notre société reste une société dont nous sommes fiers : pas cette société des sans papiers, des expulsions, des soupçons à l’égard des immigrés, pas cette société où l’on remet en cause les retraites, les acquis de la sécurité sociale, pas cette société où les médias sont entre les mains des nantis, toutes choses que nous aurions refusé de cautionner si nous avions été les véritables héritiers du Conseil National de la Résistance »

Stéphane Hessel
(1917- 2013)
ambassadeur, diplomate et résistant.

Une poignée de résistants a imaginé, dans la clandestinité, dans un pays ruiné par la guerre, qu’il était possible de construire un autre monde si l’on a la volonté politique de mettre l’immense richesse de notre pays au profit de tous.
Nous devons prendre le relais.
En tant qu’élu communiste j’agis pour que notre commune n’accepte pas la dictature financière imposée aux collectivités territoriales depuis des dizaines d’années .
L’assèchement de notre hôpital, de nos services publics, les fermetures de classes dans nos écoles, la désindustrialisation de notre bassin d’emploi, le chômage, la précarité et la pauvreté doivent nous révolter.

Comme après la libération, il est temps de construire une autre France.
Une France du 21 ième siècle, qui se donnerait les moyens  de répondre aux défis d’aujourd’hui et où toutes et tous pourraient vivre de leur travail.

Une France hospitalière, fraternelle, dans une Europe solidaire.
Dans un monde en paix et de progrès social.

Je vous souhaite à toutes et à tous une belle année 2024 et je vous donne rendez-vous pour construire ensemble «des jours heureux», pour notre pays et notre commune.


Henri DELAUCHE pour La Liste de Gauche d’Aubenas, citoyenne, sociale et écologiste
02/01/2024
 


 

BASSIN d’ AUBENAS, une économie fragilisée.

Réindustrialiser notre bassin de vie, aider les entreprises qui respectent les critères sociaux et environnementaux pour créer de bons emplois, ce devrait être l’objectif numéro 1 de notre pays, de nos territoires.

 

Le gouvernement parle de relocalisation, de réindustrialisation. Mais, « dans le même temps », il met fin au « bouclier tarifaire » et le coût de l’énergie devient insupportable. Nos très petites, Petites et Moyennes Entreprises (PME) traversent une période difficile pouvant entraîner la disparition de certaines d’entre elles dans les mois à venir et aggraver le chômage.

 

Les députés et sénateurs, qui ont accepté le principe de la « concurrence libre et non faussée » inscrite dans le traité constitutionnel en 2005, ont fait preuve de légèreté, voire d’incompétence . Conséquence entre autres : nous produisons de l’électricité que nous devons vendre à bas prix à des opérateurs privés qui ensuite nous la revendent très cher... !


La hausse de l’énergie ne touche pas que les industries mais aussi les particuliers qui doivent utiliser leur voiture pour aller travailler.


Pour baisser le prix de l’énergie, il faut absolument sortir ce secteur des lois du marché et reconstruire une entreprise publique de l’énergie, comme nous l’avons connue auparavant, avec des tarifs régulés. Ce sera bon pour les consommateurs. Ce sera bon pour l’industrie et pour l’emploi.


Ce sera bon aussi pour un autre secteur de notre économie qu’il faut reconquérir et relocaliser : l’agriculture.

Il y a 50 ans des wagons frigo partaient tous les jours de la Vivacoop de SAINT SERNIN.
Les terres sont toujours là, des jeunes formés pour l’arboriculture, l’élevage, souhaitent s’installer, vivre correctement de leur travail sans devoir sans cesse s’agrandir.
Nous avons toute cette richesse à notre porte et on continue à nous imposer des marchandises qui font des milliers de km, favorisant ainsi le réchauffement climatique.
Installer des vergers, des vignes, des prairies... c’est aussi une façon de lutter contre les incendies ou les inondations.


Aujourd’hui 5 millions de français ne mangent pas à leur faim ou mangent mal.
Notre pays a les moyens pour que tout le monde mange sain et à sa faim, pour une sécurité alimentaire pour tous !
Faisons sauter les verrous qui empêchent d’accéder à ce droit essentiel.


La Commune…..maillon indispensable de la République.

Au conseil municipal nous avons voté une motion demandant que les urgences de l’hôpital soient ouvertes 365 jours par an et 24h sur 24 et apportant notre soutien aux soignants et au personnel du C.H.A.R.M.E. Il faut toutefois aller plus loin, combattre fermement la casse de notre système de santé et de notre sécurité sociale, casse programmée depuis plus de 20 ans.
A sa création la sécurité sociale était financée par les cotisations salariales et patronales, elle échappait à la loi du marché. Aujourd’hui la santé est livrée à la gestion financière.
Les trusts pharmaceutiques ont engrangé des profits fabuleux. Par exemple les laboratoires Gilead ont pu vendre un traitement pour le foie à 42 000 euros pour une cure de 12 semaines alors que le coût de fabrication est estimé à 100 euros!

 

Notre population et nos services publics souffrent.


La santé,  l’énergie, l’eau, le rail... doivent échapper aux actionnaires, revenir dans la gestion publique sous le contrôle des salariés, des usagers, des élus.


Le président des très riches et son gouvernement s’en prennent aussi aux communes : baisse des dotations, transferts de charges, mettent les communes en très grande difficulté, entraînant colère et frustration.

En parallèle la violence contre les élus locaux est montée d’un cran. Les démissions d’élus n’ont jamais été aussi nombreuses.


Pour les élus communistes ce constat ne doit pas nous tétaniser mais nous mobiliser.

La commune est la structure de base de notre république nous devons en prendre soin.
 


Notre liste de Gauche d’Aubenas, Citoyenne, Sociale et Ecologiste reste disponible pour l’intérêt collectif. Elle agit pour le maintien et l’amélioration des services publics sur notre territoire. Elle veut que chacun puissent vivre dans la tranquillité (et donc rétablir une police de proximité, bien formée, au contact des habitants). Pour que notre jeunesse puisse vivre et travailler au pays il faut créer de véritables emplois, faire reculer le chômage et la précarité. Le  tourisme et le commerce ne sont  pas suffisants pour offrir des emplois pérennes et qualifiés à nos jeunes.

Nous devons  réindustrialiser notre bassin de vie avec des entreprises respectueuses de l’environnement et du droit des travailleurs.
L’agriculture doit rester une priorité pour que chacun puisse manger bon et sain.


Et plus que jamais oeuvrer pour la paix et l’amitié entre les peuples.

 

Henri DELAUCHE